Guy Marius Sagna : “Macky a conspiré avec les Ouattara, les Kaboré, les Talon…contre le peuple malien…”
Le secrétaire administratif du Front pour une révolution anti-impérialiste populaire et panafricaine (Frapp France Dégage), Guy Marius Sagna dénonce les lourdes sanctions de la Cedeao infligées au Mali. Et dans un post publié sur sa page Facebook, l’activiste estime que le Mali est malade. Et au lieu de tuer la maladie, “les présidents traîtres de la CEDEAO et de l’UEMOA veulent tuer le malade”.
Serviteur de Paris…
“Le petit serviteur de Paris, Macky Sall a conspiré avec les Ouattara, les Kaboré, les Talon…contre le peuple malien. NOT IN MY NAME! PAS EN MON NOM!”, déclare Guy Marius Sagna. Pour lui, en tentant d’asphyxier le Mali, Macky Sall, pour plaire à ses maîtres impérialistes, en oublie même qu’il y a aussi des Sénégalais.e.s au Mali.
Sanctions…
“Qui est dupe? Personne ne croit qu’en sanctionnant ainsi le Mali le souhait de la CEDEAO et de l’UEMOA est “un retour rapide à l’ordre constitutionnel”. Ces présidents qui piétinent tous les jours la constitution de leur pays, ont le culot de prétendre ramener l’ordre constitutionnel au Mali. En réalité, c’est l’ordre impérialiste, notamment françafricain, qui est menacé et que les Macky et Ouattara cherchent à sauver”, estime l’activiste.
Soumission…
D’après Guy Marius Sagna, seule l’année a changé, mais les Macky et Ouattara sont restés plus soumis à la France que jamais. Et l’un des maux du Mali, du Sénégal, du Niger, de la Côte d’Ivoire, du Tchad, du Bénin, du Burkina c’est la sous-France que nous imposent la France et ses valets. “C’est pourquoi, aujourd’hui plus que jamais nous disons: “FRANCE DÉGAGE !””, ajoute-t-il.
Solidarité…
Le secrétaire administratif du Frapp exprime toute sa solidarité aux Malien.ne.s et aux Africain.ne.s pris.e.s au piège de l’embargo décrété par les préfets africains de la France et de l’UE. “Le président Macky Sall qui a la “France au cœur”, qui trahit les Sénégalais au profit des multinationales françaises, ne peut que trahir nos frères et sœurs maliens et africains en général”, poursuit M. Sagna.
