JOURNÉE INTERNATIONALE DES DROITS DES FEMMES

Hommage à toutes les femmes fortes, debout et fières !!!

FORTES: la vie est un ring et le combat est continuel. Alors viendra un jour ou l’animosité et l’adversité déchirera la couche d’hypocrisie aussi bien entretenue soit-elle pour laisser apparaître le vrai visage de nos ennemi  (e)s.

DEBOUTS: L’ampleur des coups reçus (souvent de la manière et de la personne la plus inattendue) met souvent à genoux et tend à mener Hors Course. La FOI en ALLAH swt et la maîtrise de qui on est, fait renaitre cette sublime FORCE intérieure qui fait quotidiennement vibrer les adversaires aussi champion (ne)s qu’il (elle) s soient en coups fourrés et nous impose à être et rester debout.

FIÈRES: quelque soit la technique des loups affamés, déchaînés et tordus d’esprit, me tracer toujours un chemin de Fierté et de Sincérité reste ma devise car « c’est l’Homme qui a peur sinon y’a rien ». La promotion « canapé » ou celle du « siborou » ne feront jamais d’une femme  ce qu’elle doit être. « Rien de durable ne se construit dans le mensonge » disait l’autre. Quelque soient les limites intellectuelles, et la médiocrité de la situation financière, elles ne peuvent être  une raison d’usage de stratégies de beauté séductrices pour ETRE qui on doit.

Se battre pour prouver quelque chose à quelqu’un c’est de la pure faiblesse. Il est bon d’apprendre à ne rien avoir à prouver mais plutôt vivre et avancer pour soi même et non pour plaire aux autres. Apprenons à être forte et fière  de nous-même. Tout le monde commet des erreurs et reçoit des coups  mais ceux qui arrivent à les corriger et à se relever sont peu. Quelque soit ce qu’on sacrifie pour plaire aux autres ou à la société, ils ne pourront nous offrir l’immortalité. DIEU reste Unique Maitre notre destin  comme dit le serere « roga lasta ba pang , wéna ngithrel kada ndef na koumpa « . Le woyof dirait « yallah nopina demb tey soga niow, ragal yab yallah la » Alors soyons fortes, fières et surtout vrais  et battons-nous à être qui nous aspirons, pour nous même et non pour les autres. Quand la conscience est en paix et le coeur en bonne santé rien ne doit être fort à pouvoir nous retenir ou nous ralentir. Vivons! Marchons! Avançons et surtout : ne nous retournons pas pour ne pas perdre de temps. 

C’est ma logique à moi Mayouga Deguene Tanor.

MARIAMA MBAYE JOURNALISTE ET FEMME DE DÉVELOPPEMENT