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THIERNO ALASSANE SALL ATTAQUE BOUN ABDALLAH ET ALY N NDIAYE

‹‹ Lorsque j’ai refusé le contrat avec Timis, c’est Boun Abdallah qui l’a signé cinq jours après ma démission. Et Timis est parti avec 200 milliards de nos francs.’’

L’ancien premier ministre Mouhammad Boun Abdallah Dionne a déclaré sa candidature pour les Élections présidentielles de 2024.
Une décision qui défie les exigences de son mentor qui continue d’appeler à se réunir derrière le candidat de BENNO BOKK YAKAAR.
Le leader de RV doute de la sincérité de la candidature de l’ancien premier ministre Boun Dionne.
Il l’a fait savoir lors de son face à face avec Nene Aïcha dans l’émission TRIBUNE PRÉSIDENTIELLE.
‹‹ Moussoul wahh déétt.. dit TAS, pour répondre à la question de la journaliste sur la défiance de Boun Dionne.
‹‹ Il n’a jamais dit ‘‘Non’’ devant le président de la république même qu’il lui semblait incompréhensible que quelqu’un puisse dire ‘‘Non’’ au chef de l’État ›› poursuit Thierno Alassane Sall, qui pense bien que cette candidature de l’ancien premier ministre est ‘‘voulue’’ et ‘‘orchestrée’’ par le chef.

L’honorable député n’a pas été tendre envers ses anciens camarades. Devant les questions du chroniqueur, il a expliqué plusieurs nébuleuses et désaccords qui ont causé sa démission du gouvernement de Macky Sall.
‹‹ Pourquoi je rigole de la candidature de Boun Abdallah et de ses nouvelles positions de changer les contrats signés, c’est parceque c’est lui-même qui les a signés du temps où il occupait le poste de premier ministre. Alors comment celui qui n’a jamais dit NON devant les négociations, veut nous faire croire qu’il est sincère dans son nouveau projet. ››
TAS termine le chapitre Boun Abdallah, qu’il appelle ‘‘DOUBLE BOUTON’’ en concluant : ‹‹ Si même l’ancien premier ministre dit qu’il va supprimer les accords, c’est que lui-même se rend compte de ses echecs.
Même Aly N Ndiaye, qui se déclare candidat aujourd’hui pour les présidentielles de 2024, a joué un rôle dans le contrat avec Timis ››

Pour le président de LA RÉPUBLIQUE DES VALEURS, il n’est pas question d’accepter que le pays soit transformé en ‘‘comptoir’’ comme du temps des colons et diviser les ressources sénégalaises entre les chinois, les turcs et les français.