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1- Le ministre Moussa Bala Fofana remet des équipements informatiques aux centres d’état civil

Le ministre de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’Aménagement des territoires, Moussa Bala Fofana, a remis, vendredi, des équipements informatiques, dont 1.200 ordinateurs, aux centres d’état civil du pays.

Les centres d’état civil ont aussi reçu 1.000 imprimantes, 1.200 onduleurs, des serveurs et d’autres équipements.

La remise de ces équipements s’inscrit dans la mise en œuvre du programme ‘’Nekkal’’ de l’Agence nationale de l’état civil (ANEC).

‘’Cette opération financée par l’Union européenne pour une valeur de 1,2 milliard de francs CFA s’inscrit dans le vaste chantier de digitalisation de l’état civil’’, a dit M. Fofana lors de la cérémonie de remise du matériel.

Avec ce programme, 19 millions d’actes d’état civil numérisés ont été indexés et versés dans la base de données centrale du registre national de l’état civil (RNEC), a-t-il signalé.

Selon lui, le RNEC, en plus de fournir deux sites d’hébergement, a mis en service la connexion de 234 centres d’état civil reliés à l’intranet gouvernemental.

‘’Quelque 255 autres centres seront aussi connectés dans les semaines à venir’’, a annoncé Moussa Bala Fofana, rapporte l’APS.

2- ICS : L’usine doit une ardoise de 200 milliards de FCFA de dette fiscale au Sénégal

Après les rapports des différents corps de contrôle sur la gestion des deniers publics du Sénégal, en voici une autre révélation qui fait froid au dos et qui donne des insomnies aux pauvres goorgorlou cherchant la queue du diable avant de pouvoir la tirer. Selon, Abdoul Aziz Ndiaye, ancien cadre des industries chimiques du Sénégal (ICS), la société doit une dette fiscale de 200 milliards de FCFA à l’Etat du Sénégal. Cette révélation est étayée par une un document transmis à PressAfrik. Selon toujours la même source, « les ICS ne paient ni d’impôts sur le revenu, ni TVA, ni droits de Douane, ni redevance minière ». En quelque sorte la société ne contribue en aucun cas aux finances du Sénégal.

Dans un autre registre, notamment, sur la production d’engrais chimiques, la société est loin de satisfaire la demande du pays. Sur ce, ajoute l’ancien cadre de Senchim (une filiale des ICS), l’usine de Mbao, d’une capacité de production de 250 mille tonnes par an, est loin d’en produire. D’après les estimations, le secteur agricole a un besoin de 150 milles tonnes. Et l’usine en charge produit en de ça de ces chiffres.

Les industries chimiques du Sénégal (ICS) depuis 2014 sont dirigées par le groupe Indien Indorama. Ce dernier détient 78% des parts, le Sénégal 15%, IFFCO 6.78%, et l’Inde 0.22%.

3- Aïd-Al-Kabiir : Le Sénégal célèbre la fête de la Tabaski le lundi 17 juin 2024

4- Seydi Gassama critique ceux qui prédisent un conflit au sommet de l’État

Seydi Gassama, le directeur exécutif de la section sénégalaise d’Amnesty International, sur X vendredi, visité par Senego, a critiqué vivement ceux qui prédisent un conflit au sommet de l’État. Il a mis en garde contre les dangers de telles prédictions, affirmant que ces spéculations peuvent effectivement contribuer à créer des tensions et des divisions inutiles au sein de la nation.

Seydi Gassama a mis en garde contre l’attitude de certains qui pensent que si l’on continue à prédire un conflit au sommet de l’État, celui-ci finira par se produire. Gassama a insisté sur la nécessité de mettre les intérêts du pays au-dessus des intérêts individuels ou partisans.

Dans ses propos, il souligne l’importance de la stabilité et de la cohésion nationale, en mettant en avant que les spéculations incessantes sur des conflits potentiels au sein des structures de l’État ne font qu’aggraver les tensions et créer un climat de méfiance et d’instabilité.

En rappelant aux citoyens et aux leaders politiques la priorité des intérêts nationaux, Gassama appelle à une plus grande responsabilité et à une vision collective pour le bien-être du Sénégal.

Le droit de l’hommiste plaide pour une approche constructive et un dialogue inclusif afin de résoudre les différends et de promouvoir la paix et le développement durable.

5- Démission du maire de Sandiara : Le premier adjoint Aliou Gning assure l’intérim

Le ministre de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’Aménagement des territoires a notifié l’acceptation de la démission de Dr Serigne Guèye Diop, en sa qualité de maire de la commune de Sandiara. Le sous-préfet de Sessène, Richard Biram Faye, a sorti la notification.

Conformément aux dispositions de l’article 137 du Code général des collectivités territoriales et selon l’ordre de l’élection des adjoints au maire, le premier adjoint Aliou Gning a été désigné et chargé par la loi pour assurer l’intérim du ci-devant maire de Sandiara, afin qu’il assure « le bon fonctionnement de l’Institution municipale jusqu’à la prochaine session ordinaire du conseil municipal, date à laquelle il sera procédé à l’élection du nouveau maire de Sandiara et la réélection du bureau municipal selon la loi sur la parité (homme – femme) », lit-on dans le communiqué du sous-préfet de Sessène, parvenu à Seneweb.

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